La pollution de l’air aux particules fines est un phénomène souvent évoqué en période hivernale. Certaines conditions météorologiques, comme le froid, favorisent et amplifient cette pollution atmosphérique.
Découvrez comment lutter et limiter la pollution de l’air avec votre poêle à bois ou votre cheminée.
Remplacer son ancien appareil de chauffage au bois
Les anciens poêles à bois, notamment en milieu urbain, sont une source de pollution de particules fines. En effet, la qualité de la combustion est primordiale pour réduire au maximum les émissions de particules fines.
C’est pourquoi le renouvellement du parc de vieux poêles à bois, non certifiés et polluants, par des nouveaux poêles à bois dernière génération est véritablement un levier majeur pour lutter contre la pollution de l’air.
En remplaçant votre ancien appareil de chauffage au bois par un appareil certifié, notamment en choisissant un poêle à bois labellisé Flamme Verte, vous réduirez considérablement votre émission de particules et améliorerez la qualité de l’air.
Utiliser correctement son poêle à bois
Comme nous vous le disions précédemment, une bonne combustion est l’élément primordial pour que votre poêle limite au maximum les émissions de particules fines.
Pour ceci, votre poêle ou votre cheminée doit être bien entretenu (1 fois par an par un professionnel reconnu), votre conduit de cheminée doit être ramoné régulièrement (minimum 2 fois par an) et surtout vous devez utiliser un bois sec, moins de 20% d’humidité.
De plus, votre conduit de fumée doit être correctement dimensionné, par un professionnel reconnu, pour éviter le phénomène de ralenti sur votre appareil de chauffage. Moins votre appareil tournera au ralenti, moins il polluera.